Je m'appelle Dominique Gourdier. Né en 1956, Je pratique la photo comme amateur depuis de nombreuses années, Ma vie professionnelle a été consacrée à la chimie et plus particulièrement à la chromatographie et la spectrométrie de masse. Petit fils d'un photographe professionnel que je n'ai pas connu car mort en 1940, j'ai hérité du gène de la photo.
La photo a toujours été ma passion. Mon premier appareil photo était un Kodak à soufflet au début des années 60. Eh oui, je parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.
J’ai continué à pratique la photo passant d’un appareil photo à l’autre au travers de don ou empruntant les appareils photos de mon père, 6X6 ou 24X36 bi-objectif. Mes premiers deniers économisés m’ont permis de m’offrir un reflex 24X36 Chinon, monture 42 à vis qui m’a rendu, durant de nombreuses années, de loyaux services, Passant ensuite à un reflex Pentax, plus léger mais qui avait surtout l’avantage de pouvoir supporter à la fois les objectifs en monture K mais aussi le 42 à vis, permettant de recycler les vieux cailloux. Grâce à ce second boîtier, je pouvais partir avec un film noir et blanc sur l’un et un film couleur sur le second boîtier. Je ne pensais pas alors qu’un jour, un même appareil photo me permettrai de faire les deux en même temps et, de plus, de changer la sensibilité d’une photo à l’autre.
Des années plus tard et un placard photo bien rempli, j’ai fait le grand saut vers le numérique avec, pour me faire la main, un bridge Kodak mais je me suis rapidement orienté vers un reflex. Après un essai avec le Sony Alpha 350 avec un capteur CCD très bon en haute lumière mais très médiocre au delà de 800 ISO, j’ai plongé dans l’univers Nikon avec le D90, premier reflex à faire de la vidéo. Je dois dire que cette option était un plus pour moi sur le papier mais que je n’ai jamais vraiment exploitée. Je suis photographe mais pas vidéaste.
Le monde de la photo numérique a un gros défaut qui consiste à pousser le client à changer régulièrement de boîtier, le dernier sorti étant bien meilleur que le précédent. J’ai donc fini par acheter un D7100 quelques années après mon D90. Avec son capteur 24 MP, il m’a permis de réaliser de très nombreux clichés, y compris avec la possibilité de cropper les images.
Comme vous l’avez peut être déjà vu sur ma galerie, je suis aussi passionné par le monde de l’orgue mais cet instrument a un gros défaut. Il se situe généralement dans des églises parfois mal éclairées. L'autre problème est qu'en vieillissant, le matériel photo devient de plus en plus lourd. Ces défaut m'ont fait basculer dernièrement vers le Nikon Z6, superbe boîtier hybride full frame et ses optiques en monture Z, légères et excellentes.
Parallèlement aux boîtiers, j’ai découvert il y a de nombreuses années Lightroom qui reste pour moi le meilleur outil de post-traitement, catalogage. Aucun autre logiciel testé, a l’heure actuelle, ne m’a convaincu de changer.